lundi 20 août 2007

mardi 14 août 2007

FERIA BEZIER



En France, le mot a souvent été utilisé pour nommer un cycle de courses de taureaux. Le sud-est, plus hispanisant, a très rapidement confondu feria taurine et fête. Les villes gasconnes ont suivi ce mouvement depuis une trentaine d'années. Ainsi, les Fêtes de Dax, dans les Landes, sont officiellement devenues la feria de Dax, rompant ainsi avec la tradition populaire. La popularité de ces fêtes et la médiatisation qui en a été faite ont favorisé la substitution du mot fêtes par celui de feria. Beaucoup de communes - y compris celles qui n'organisent aucune course de taureaux - ont ainsi rebaptisé leurs festivités patronales, ferias. Et l'usage courant a suivi. Toutefois, à Mont-de-Marsan comme à Bayonne, la semaine festive estivale continue à s'intituler respectivement Fêtes de la Madeleine et Fêtes de Bayonne.




La Feria de France la plus connue est bien sur celle de Nîmes se déroulant durant le week end prolongé de la Pentecôte. Depuis de nombreuses années elle donne lieu a une immense manifestation durant plus de 4 jours qui rassemble environ 1 millions de personnes venant de toute la France et de l'étranger. Durant ces festivités se déroulent des novilladas ou corridas ainsi que d'autres animations tournant autour de la Tauromachie ou non dans toute la ville. Les novilladas et les corridas se déroulent chaque matin et soir dans les Arènes romaines de la ville. Les plus grands toreros du mondes se relaient afin de donner un spectacle magique et inoubliable a chaque fois. En ce qui concerne les soirées, elles sont bien arrosées à la Sangria et se deroulent dans les rues et dans les Bodeguas où ont lieu des soirées avec de grands DJ. Enfin, il règne dans les rue de cette ville romaine une ambiance bon enfant jusqu'au petit matin où les plus fetards rentrent chez eux et les plus chanceux assistent aux corridas matinales. Sans oublier bien sûr, celles de Béziers (le 15 aôut), d'Arles et sa petite soeur, la feria d'Alès se deroulant sur 5 jours en général pour l'assencion, celle-ci est plus petite que celle de Nîmes mais plus familiale.

jeudi 9 août 2007

MIDI PYRENNEE







La controverse [Depuis les débuts du « tag » à New York (début des années 1970), la controverse « Art ou vandalisme ? » divise.On peut prendre pour exemple un éditorial du New York Sun[24] qui compare le graffiti à des métastases[25] et s'en prend violemment au New York Times qui n'évoque que les questions artistiques, concluant par cette phrase : « le Times fournit le discours idéal pour une génération qui refuse de grandir ».
Si l'on se fie à la théorie de la vitre cassée développée aux États-Unis, le graffiti est un facteur d'insécurité, car il laisse aux populations le sentiment que leur quartier est délaissé par les pouvoirs publics et que les incivilités sont impunies.
D'autres points de vue, pas forcément contraires, peuvent être avancés : avec les graffitis, les jeunes s'occupent de manière créative (et donc positive), s'approprient l'espace public et lui apportent même une gaité chromatique parfois bienvenue.