Si l'on se fie à la théorie de la vitre cassée développée aux États-Unis, le graffiti est un facteur d'insécurité, car il laisse aux populations le sentiment que leur quartier est délaissé par les pouvoirs publics et que les incivilités sont impunies.
D'autres points de vue, pas forcément contraires, peuvent être avancés : avec les graffitis, les jeunes s'occupent de manière créative (et donc positive), s'approprient l'espace public et lui apportent même une gaité chromatique parfois bienvenue.
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